TRAITEMENT DE la DOULEUR CHRONIQUE
On parle de douleur chronique lorsque celle-ci est persistante et impacte sur le bien-être et la qualité de vie de la personne. Une infection ou une blessure peut provoquer ce type de douleur. Les chirurgies sont aussi souvent à l’origine d’une douleur chronique si elles ont causé une lésion nerveuse ou une inflammation au niveau de la colonne vertébrale. D’autres causes peuvent également générer une douleur chronique.
Comment reconnaître une douleur chronique ?
Le gouvernement canadien définit la douleur chronique comme une maladie persistante sur une période de trois mois et plus, affectant la santé émotionnelle. Il existe deux catégories de douleurs : la douleur primaire et la douleur secondaire. La douleur primaire constitue la principale problématique à l’issue d’un premier diagnostic, en prenant comme exemple le cas d’une fibromyalgie, un syndrome complexe sur une zone donnée ou toute autre douleur musculosquelettique non spécifique.
La douleur secondaire survient suite à une maladie, une chirurgie ou toute autre condition susceptible de générer une douleur sur une période prolongée. C’est le cas du cancer ou d’un traumatisme dont la guérison normale prend du temps.
La douleur chronique peut se manifester de différentes façons : la douleur peut être juste gênante jusqu’à devenir pratiquement insupportable et handicapante. L’individu pourrait ainsi ressentir une forte douleur s’apparentant à un coup de couteau, une brûlure ou un étirement musculaire. Une petite palpation peut endolorir la zone affectée. Cette douleur est susceptible d’augmenter en intensité à la suite de mouvements brusques. Dans la plupart des cas, la douleur chronique peut s’étendre sur plusieurs zones. Son intensité peut augmenter au fur et à mesure que le corps s’active.
Quel est l’impact d’une douleur chronique ?
Au Canada, 20 % de la population souffre de douleurs chroniques. Ces dernières produisent un impact sur le quotidien du malade, puisqu’elles affectent aussi bien le corps que l’esprit et les émotions. Elles augmentent aussi le risque de suicide, font baisser l’énergie, génèrent un trouble du sommeil, réduisent la productivité au quotidien et fatiguent l’intellect. Le suivi d’un traitement s’impose donc pour aider les personnes affectées à retrouver leur bien-être et une vie quotidienne normale.
Comment traiter la douleur chronique ?
Il est possible de déceler l’origine d’une douleur chronique. Dès que le patient ressent une douleur aiguë, le suivi d’un traitement précoce s’impose afin de prévenir l’aggravation et l’extension de la douleur sur d’autres parties du corps.
Les physiothérapeutes de Physio + Hamel possèdent les qualifications nécessaires pour traiter les douleurs chroniques. Ils interviennent dans le cadre du traitement des symptômes liés à tous types de douleurs. Les techniques utilisées visent à aider les patients à retrouver une bonne mobilité et le bien-être. Plus le corps est actif, plus il est capable d’exécuter différents mouvements. La réalisation des bons mouvements réduit les inconforts causés par les douleurs chroniques.
Les patients peuvent effectivement faire appel à un physiothérapeute dans le but de traiter les douleurs chroniques. De cette façon, le patient peut alors réduire ou éliminer ses douleurs chroniques et de retrouver une vie normale et stable
Ostéopathie et douleur chronique : Comment ça FONCTIONNE ?
L’ostéopathie peut adresser différentes douleurs, dont les douleurs chroniques. L’ostéopathe dresse un bilan de santé du patient avant d’élaborer une séance adéquate. Ce bilan est dressé sur la base d’une évaluation objective et subjective.
Une séance basé sur l’ostéopathie contribue au soulagement des douleurs chroniques. Néanmoins, cette méthode n’indique pas les douleurs chroniques de façon définitive. Il s’agit plutôt d’une technique permettant au patient de mieux supporter la douleur, sans toutefois la faire disparaître complètement.
Physio + Hamel met à la disposition de ses patients un ostéopathe capable d’intervenir au niveau les douleurs chroniques. Ce spécialiste décèle le manque de mobilité et se base sur trois systèmes ostéopathiques :
- Le système pariétal : muscles et articulations ;
- Le système viscéral : organes du thorax et de l’abdomen ;
- Le système crânio-sacré : la tête et le sacrum.
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